L’ombre du vent

Disponible sur CD Mutations
The royal Symphonic Band of the Belgian Guides

D’après le roman de Carlos Ruiz Zafon
 » L’ombre du vent  » est une oeuvre inspirée du roman éponyme de Carlos Ruiz Zafón.
C’est un voyage dans un univers gothique où se croisent des personnages inquiétants et violents, drôles et étranges ou empreints d’idéaux inaccessibles.
L’amour, la haine, la trahison, la peur, la joie… À l’image du roman, la musique de  » l’ombre du vent « , telle une musique de film, se propose de plonger l’auditeur dans l’atmosphère onirique et fantasmagorique de l’oeuvre de Carlos Ruiz Zafón.
* Œuvre imposée à la CMF pour le concours 2019 en catégorie « honneur »

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Carnets de voyage(s)

Commande du Lyon Metropole Orchestra.

Un vieil homme à l’orée de son existence se remémore sa vie en musique en feuilletant ses carnets de voyages, témoins de son long cheminement.
Carnets de voyage(s) est une œuvre où se mêlent différents styles de musique allant du bel canto au jazz, en passant par la musique contemporaine.

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Metronomus

Pour wood-block et orchestre d’harmonie.

Le métronome est au musicien ce que la règle est à l’architecte, la gomme au dessinateur… C’est indispensable et pourtant on aimerait tant ne pas avoir à s’en servir. Utile mais exaspérant, qui n’a jamais eu l’impérieuse envie de jeter son métronome par la fenêtre, ou de le broyer avec un marteau ? Metronomus le met en pièces… mais musicalement.

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La petite fille aux allumettes

Directement inspirée du conte d’Andersen, cette pièce en suit le synopsis. Elle était au départ destinée à venir enrichir la collection du « Bestiaire enchanté » mais tant le propos que le format ainsi que la difficulté de la pièce m’ont convaincu qu’il fallait en faire une pièce à part entière.

La philosophie de pensée y est pourtant : l’univers magique que peut engendrer le feu d’une simple allumette.

Les danseries imaginaires

Séville. Je suis réveillé par le bruit d’une table que l’on déplace sur un sol en pierre et par ce que je pense être des couverts. Quelqu’un est en train de mettre la table pour manger.

Pendant un instant, j’ai cru entendre de la musique, tant les sons étaient ordonnés : A E B C B. Machinalement, j’ai retranscrit le rythme mentalement.

Puis, les yeux entrouverts, j’ai distingué l’ombre d’une fleur qui se déplaçait dans le vent sur l’un des rideaux blancs de la pièce, lui-même animé d’un léger courant d’air.

Longtemps, j’ai observé ce ballet fragile et éphémère, soumis à la seule volonté du vent et à l’immuable rotation du soleil. Je savais qu’il aurait une fin, alors j’ai gardé en mémoire la danse de cette balerine imaginaire.